C’est un peu naïf de ne pas s’intéresser aux mauvaises raisons, non ?

Pos­tu­ler que cha­cun a de bonnes rai­sons ne serait-ce pas un peu simpliste ?

Ne ver­rait-on pas là les mêmes tra­vers que la bien­veillance sys­té­ma­tique qui à force de ne cher­cher que le bien ne voit plus le monde tel qu’il est ?

En réa­li­té c’est un peu plus com­plexe que cela comme je l’illustre dans cette vidéo. En cas de conflit dire gen­ti­ment “oui” à tout mène rare­ment à une solu­tion, en effet. Les conflits sont sou­vent la marque d’un pro­blème non expli­ci­té. Aller au bout des argu­ments per­met sou­vent de géné­rer des solu­tions créa­tives et cela demande par­fois de tra­ver­ser des moments désagréables.

Cepen­dant pour trou­ver une solu­tion, il ne sert pas à grand chose de s’in­té­res­ser aux mau­vaises raisons.

Le cas pré­sen­té montre bien l’intérêt que peut avoir une saine ges­tion des conflits, sans naï­ve­té, sans com­pro­mis et sans s’appesantir non plus sur les mau­vaises raisons.

Si le sujet vous inté­resse, demain soir mar­di 10 octobre à 19h avec l’aide de mon asso­cié Jean-Gabriel Kern je pré­sen­te­rai plus en détail le concept lors de la confé­rence de lan­ce­ment de l’ou­vrage que j’ai consa­cré au sujet. Il reste des places online ins­crip­tion ici : https://lnkd.in/d8ipjJkX

PS : Pour res­pec­ter la confi­den­tia­li­té, le cas pré­sen­té est un com­po­site de plu­sieurs situa­tions réelles qui toutes menaient à la même conclusion.

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